«Prenez soin de ma femme et de mes enfants ; fidèles confédérés, souvenez-vous de ma lignée ». Les mauvaises langues prétendent que Winkelried aurait crié en 1386 : « Qui m’a poussé ? » Cette insinuation malveillante reflète parfaitement la politique étrangère suisse depuis 1386. Plus de courage ! »